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Raúl Herrero

Arrabal News

… Viva la muerte d’Arrabal… Mocky … nouvel an ‘pataphysique… autre arrabalesque…

Fernando Arrabal

 

… HIER SOIR…  SALLE   BONDEE  …   le méliès,  Renc’Art au Méliès, L’étrange Festival,   Stéphane Goudet, Benédicte Hazé,

http://www.montreuil.fr/fileadmin/user_upload/Files/Culture/cinema/2011/programme_melies_20juill_6sept2011.pdf

…CARTE BLANCHE À  JEAN-PIERRE MOCKY….  EN PERSONNE ….  PRÉSENTATION GENIALE…

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…AUJOURD’HUI ,avant-veille du 1° Absolu, 139, (Nativité d’Alfred Jarry)  NOUVEL  AN   ‘PATAPHYSIQUE

tertulia/banquet/agora à 14h 06′ au nid fluvial de la rue Jouffroy en présence, entre autres, de

Thieri Foulc (RHSM) , la TV Espagnole, Paco del Valle, Kenny Ozier-Lafontaine, poètes, séditieux, sauvages,  … si le dieu Pan le veut  …

… un autre arrabalesque : ”le pouvoir culturel a un sexe , c’est pourquoi il communique sous sa burquahonneur ”

collage de Jordi Soler.  

 

 

 

DVDvi[1]

 

 

Viva la Muerte

de Fernando Arrabal

(Fra./Tu./Esp. – 1970 – 1h27 – VO)
«Du sang, du sexe … ! »    En    Espagne,    sous    la dictature Franquiste, le jeune Fando va être en proie à des fantasmes  suite à la disparition de son père, dénoncé par sa mère aux autorités.
Basé sur son autobiographie Baal Babylone, Viva La Muerte est le premier film réalisé par Fernando Arrabal, artiste pluridisciplinaire iconoclaste et controversé. Fondateur du théâtre Panique avec Roland Topor et Alejandro Jodorowsky, Fernando tente l’aventure cinématographique à un moment où la censure se relâche. Ayant quitté l’Espagne en 1955, il tourne cette première œuvre en France et en Tunisie afin d’évoquer ses souvenirs d’adolescent. Viva la muerte est présenté au festival de Cannes en 1971 et provoque un véritable scandale par son ton délibérément provocateur et outrageant. Censurée en France, ainsi qu’en Espagne, l’œuvre fait depuis l’objet d’un véritable culte auprès des initiés.

LE FILM SERA PRÉSENTé

PAR JEAN-PIERRE MOCKY

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Fernando Arrabal… son premier long-métrage choc VIVA LA MUERTE. Une oeuvre géniale marquée par des thèmes liés à l’enfance de l’artiste : la guerre d’Espagne, le franquisme, l’absence du père, la figure de la mère envahissante. Autant de sujets bouleversants qui jalonnent sa extraordinaire filmographie composée de sept films-culte parmi lesquels figurent LE CIMETIERE DES VOITURES (1983), première expérience cinématographique d’Alain Bashung, J’IRAI COMME UN CHEVAL FOU (1973), L’ARBRE DE GUERNICA (1985), L’EMPEREUR DU PEROU (1982)… le cinéaste et co-fondateur du mouvement Panique Alejandro Jodorowsky, Bernard-Henry Levy, Alain Bashung, le critique Henry Chapier, la comédienne Nuria Espert (interprète du personnage de la mère dans VIVA LA MUERTE), le réalisateur Jorge Armat décryptent l’univers singulier de ce ” grand poète pur ” et reviennent sur le tournage ou la sortie triomphale des films dans le monde.
“A SURREAL SHOCKER” – San Francisco Examiner.
“There are three perfect surrealist films: Un Chien Andalou, El Topo and Viva La Muerte.”- digitalbits.com .

“INESCAPABLY A MAJOR WORK!”: NYTimes

The debut film of Spanish playwright Fernando Arrabal, VIVA LA MUERTE is a tour-de-force considered by many critics to be the pinnacle of Spanish avant-garde filmmaking. Fueled with surreal images of violence, sexuality and biting political commentary, the film posits Arrabal as the preeminent Spanish-language surrealists… Arrabal’s second film; I WILL WALK LIKE A CRAZY HORSE (J’irai Comme un Cheval Fou) forsakes the political allegory present in Viva La Muerte for a dramatic discovery of faith and organized religion.
The story follows a man, Aden, played by the American George Shannon, who flees society after the death of his controlling mother. Out in the wilderness he encounters the beauty of nature, and under the tutelage of a hermit named Marvel, becomes a “normal homme.” Aden falls desperately in love with Marvel, who can communicate with animals, the clouds, and the sun. Upon returning to civilization, Marvel in tow, Aden is more aware than ever of the hideous and hypocritical nature of human society.
I WILL WALK LIKE A CRAZY HORSE has long been considered a masterpiece of surrealist film and stands as Arrabal’s most delirious and devlish picture, an outrageous portrait of both other-worldly beauty and inner torment.

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